Page spéciale Fête des 10 ans de PPIVO au jardin solidaire du Plan le samedi 26 septembre 2015.

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La présentation des activités sur le jardin solidaire du Plan par nos partenaires sur le stand partagé par  le
Centre Socioculturel Mandela-La Fontaine

et l'ESAT du Vieux Châtres

 

 

 

 

L'arbre des mots :  

Les enfants en accompagnement à la scolarité ont la parole.

 

 

Par cet arbre des mots PPIVO a souhaité donner une occasion de rencontre entre les adhérents de l'association et les enfants accueillis chaque semaine sur le jardin solidaire du Plan.

Au mois de juin il a donc été demandé à chaque enfant d'écrire ce qu'il a aimé ou pas aimé quand il est venu sur le jardin. Ces témoignages ont été accrochés sur l'arbre au centre du cercle des saisons :

 

 

 

 

Lacher d'artistes

 

Un grand merci à tous les artistes qui ont porté leur regard sur le jardin solidaire 

 

Peinture et  photos 

- Stépahnie BERTOLDI

- Christiane GUERIN

- Millie MOUGEOT

- Robert Regor MOUGEOT

- Annick ROMEC

- Agnès SIMON

- Claire THIBIERGE

- Dominique TROJELLI

- MyriamTROJELLI

- Luc TURBET-DELOF

 

Allocutions  et compositions littéraire

- Stéphanie BERTOLDI

- Nicolas MEARY

- Jean-Paul MESTRE

 

Décoration florale 

Katherine MEURISSE 

- Sylvie MOTELET

- Agnès SIMON 

 

Reportage photographique de la fête

- Stéphanie BERTOLDI

- Bérangère et Thierry LEPINE-DUMONTIER

- Katia QUERIO

- Agnès SIMON 

- Claire et Jérôme THIBIERGE

Le nez rouge qui a cultivé l'ambiance festive Nicolas BARTOLDI clown praticien 

 

 

 

Vers le site de Nicolas BARTOLDI, clown praticien : Par le bout du nez  

Les contes de Regor
accompagné à la harpe gaélique par Merilla

 

Bientôt ici les photos que vous pouvez voir pour le moment sur la page d'accueil 

 

 

 

 

 

Quant à savoir ce qu’est la création, qui est le Créateur, voici un conte qui nous ramène à quelque modestie !

 

LA FOURMI
ET LE CALLIGRAPHE

 

 

Il était une fois... une petite fourmi noire qui s'aventura par hasard sur la page blanche d'un calligraphe. Elle vit alors, tout autour d'elle, naître, sur cette page blanche, quantité de petites fourmis noires toutes semblables à elle... Elles apparaissaient comme par miracle, là, elle ne savait comment !

De retour à la fourmilière, elle conta son étrange aventure.
 
Alors, une deuxième fourmi noire, plus entreprenante que la première, se rendit à son tour sur la page blanche du calligraphe ; elle vit naître en effet, tout autour d'elle, des petites fourmis noires toutes semblables à elle... En observant de plus près, elle s'aperçut qu'une sorte de petit morceau de bois pointu touchait la feuille de papier pour leur donner naissance.
De retour dans la fourmilière, à son tour elle conta son aventure et dit :
- J'ai vu le créateur des petites fourmis noires sur la page blanche du calligraphe ! C'est un morceau de bois pointu qui, d'instant en instant, se pose sur la feuille pour leur donner naissance !
 
Alors, une troisième fourmi noire, encore plus audacieuse que les deux premières, se rendit à son tour sur la page blanche du calligraphe. Elle vit en effet naître autour d'elle de multiples petits signes noirs qu'elle prit, elle aussi, pour des fourmis. Elle vit aussi la pointe de bois, le calame, qui touchait le papier pour leur donner naissance. On ne sait par quel prodige elle réussit à s'accrocher et à grimper sur le calame du calligraphe ! De là, elle s'aventura encore plus haut sur le bras du calligraphe.
 
De retour à la fourmilière, elle dit aux autres fourmis :
- Ce n'est pas le morceau de bois pointu qui est le créateur des petites fourmis noires qui naissent sur la page blanche du calligraphe.
En grimpant sur lui, j'ai vu qu'il était tenu par une pince énorme et j'ai pu voir que cette pince appartient à un être gigantesque, étrange, extraordinaire, monstrueux, d'une taille colossale. C'est lui en vérité qui est le créateur des petites fourmis noires qui apparaissent sur la page blanche du calligraphe...
 
Mais vous qui savez quel est cet être énorme et colossal, peut-être vous poserez-vous la question :
- Qui donc a créé cet être gigantesque et monstrueux dont la pince tient le calame qui fait naître les petites fourmis noires sur la page blanche du calligraphe 
[1] ?

 

Dans l’univers connu, nous sommes encore bien moins que la fourmi du conte sur cette terre ! Nous voyons naître, à travers nos télescopes de plus en plus perfectionnés, quantités et quantités de soleils et de planètes dans notre galaxie, quantités de galaxies dans un univers aux limites sans cesse repoussées. Qui sommes-nous dans cette immensité vivante ? Quel est le créateur de la petite fourmi noire que nous sommes ? Chaque génération y va de sa réponse ; chaque culture de sa religion, de ses dogmes. Les images d’hier ne peuvent nous satisfaire ! Les anciennes croyances vacillent. La Matière est Energie. Mais qu’est l’Energie ? Quelle est sa Source ? L’Esprit ? Le mystère est sans cesse indéfiniment repoussé ; les mots usés par des siècles de vaines palabres sont inutilisables… Pourtant !
Le temps que nous connaissons n’est pas plus qu’une fourmi noire dans l’océan cosmique. Le miracle extraordinaire est que notre intelligence appréhende cela et repousse sans cesse les limites d’un rêve indéfini, éternel et immarcescible. Cela n’est pas si extraordinaire puisque, dans la Grande Unité du Tout sempiternellement réaffirmée sur terre par les Connaissants, les Serviteurs de Lumière, nous sommes la manifestation de notre Soi créateur. Point ne comprenez ! Alors, continuez en contrôlant votre folie !

 

 


[1] - D'après Jalal-ad-Din Rûmi - Mathnavi - IV.

 

Extrait du site de Régor conteur ou vous retrouverez bien d'autres contes : ici 

Pourquoi ne pas parler de la seule Vérité sans l’habiller d’images dont la compréhension n’est en rien évidente ? Le conte dit lui-même ses limites et leur cause…
 

 

LA VÉRITÉ TOUTE NUE

 
 
Souventes fois une question m’a été posée :
- Pourquoi utilisez-vous le Conte pour parler de la Sagesse et de la Vérité ?
Je vais répondre à cela par un conte... sur un conte, en quelque sorte...
 

En des temps fort anciens, la Vérité habitait au fond d'un puits, quelque part dans le désert. C'était la Vérité-Toute-Nue qui vivait là depuis des millénaires, et seuls quelques sages, ou prétendus tels, allaient parfois la contempler.
Or un jour, la Vérité décida, on ne sait trop pourquoi, de sortir du puits où elle vivait et de parcourir les villes et les villages des hommes. 
Elle sortit comme elle était, c'était la Vérité-Toute-Nue !
Mais lorsqu’elle traversait les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournaient d’elle par honte et par crainte. Ils n’osaient pas la regarder dans les yeux et ils ne supportaient pas de la voir ainsi nue... 
Elle, la Vérité-Toute-Nue, était triste et malheureuse de se sentir ainsi rejetée, telle une pestiférée avec sa clochette. Elle repartait sur les chemins, toujours plus triste et plus malheureuse...
Or, un jour où elle était encore plus triste qu’à l'accoutumée, elle fit la rencontre du Conte, dans ses beaux habits de fête, des habits chatoyants, multicolores et joyeux.
- Ah ! Bonjour Vérité-Toute-Nue, lui dit le Conte qui n'avait pas peur de la regarder dans les yeux. Mais pourquoi as-tu l’air si triste et si malheureuse ?

- C'est, lui dit la Vérité-Toute-Nue, que lorsque je traverse les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournent de moi comme si j'étais vieille et laide !

- Mais tu le sais mieux que personne, Vérité-Toute-Nue ! Tu n’es ni vieille, ni laide ! Ce n'est pas cela ! Ils ne supportent pas tout simplement de te voir nue. Tiens, choisis parmi mes plus beaux habits, et tu verras...
C'est depuis ce temps-là que la Vérité emprunte les plus beaux habits du Conte. Et les hommes depuis  lui font  un meilleur accueil...
[1]
 
Mais vous qui avez compris la Vérité, nul besoin n’avez des beaux habits du Conte qui ne sont qu’oripeaux ! 
Osez montrer votre peau ! 
Contemplez, vivez la Nue Déité ! 
Contemplez, vivez votre Nue Déité…
 
Longtemps le conte s’est arrêté avant que la fin ne fut donnée. 
C’est qu’il faut aller au bout de ses émotions humaines pour vivre l’énergie du Feu. Dans sa Quête du Saint Graal, le Chevalier abandonne alors sa monture, cesse, comme il a été dit, d’être « à son cheval lié », pour monter dans la Nef Aventureuse et se laisser porter au gré du vent, au gré de la Vie. 
Plus de notion ! L’état de virginité qui est « de vivre les événements portés par le hasard sans jamais exiger rien de plus
[2] » !
La nudité physique n’est d’ailleurs qu’un premier plan, difficile pour certains, sans problème pour d’autres… Mais que dire de la fin des émotions humaines qui est la nudité sur le plan émotionnel-relationnel ? De la nudité mentale lorsque tombent ces oripeaux que sont les notions, les idées arrêtées, les croyances qui empêchent de vivre l’instant dans sa plénitude !
Nus nous étions, nus nous sommes nés et nus nous mourrons « lorsque, tous masques levés et tous vêtements dépouillés, nous verrons, dans notre nudité première, la Fleur d’Or, sous l’aspect soudain terrible de celle que leBardo Tödol appelle la Claire Lumière du Vide, offrir la foudre de son éclat à nos yeux effarés et vite aveuglés.
[3] »

Avant, expérimentation ! Ou refoulement, fermentation des pensées malsaines qui induisent ensuite toutes les déviances et crimes qui sont légions dans nos sociétés dénaturées.
Dans quelques rares lieux, comme les « Rassemblements de l’Arc-en-Ciel », la nudité est sans problème. Dans certains se trouve un Love Temple, avec ses danses espagnoles ou orientales, et des jeux très corps à corps, des contacts ludiques et sensuels ! Le cocooning où la personne allongée est portée à bout de bras et bercée tandis qu’est chantée « une chanson douce que me chantait ma maman, en suçant mon pouce, le soir en m’endormant ». Ah ! Quel bien être de se retrouver petit enfant bercé par l’amour de tous ceux qui sont là ! Inoubliable pour beaucoup qui n’ont jamais vécu un tel moment de tendresse depuis leur enfance ! Et lecuddling ? Pouvoir se blottir, se pelotonner amoureusement contre quelqu’un sans rien de plus. Les hugs chaleureux où tous se serrent en répétant :
- I love you.
[4]
Cela coupe court à toutes les recherches compensatoires : cigarette, drogue, alcool, drague, besoin d’animal domestique… ; cela atténue et guérit les blessures affectives mieux que beaucoup de psychothérapies ! Un don gratuit, sans projection, sans désir et sans pensée…

 

Retrouvez les artistes

Merilla

 

Et Regor sur Internet

 

Retrouvez la joie de vivre de Régor sur Internet (video) 

 

 

 

 

Jeu d'échecs de plein air 

avec le Club d'échecs de Brétigny

 

 

 

 

 

 


Merci à Benoît SIMON et aux joueurs du club qui l'ont accompagné

Contact  du club d'échecs de St Michel - Brétigny - Arpajon

Site du club d'échecs de St Michel, Brétigny, Arpajon  

 

 

Exposition de l'Amicale Philathélique
Cartophile Numisatique de Brétigny

 

   

 

 

Merci à Odile, Paul RASO,Jean,  Roland DEPOIX et leurs amis passionnés de collections 

Lien pour contacter l'amicale philathélique  

Nous contacter

par mail : contact@ppivo.fr

par courrier (uniquement):

Association PPIVO 

chez M; Alain Decock
3, rue des Sorbiers

91220 BRETIGNY-SUR-ORGE 

par téléphone : 07 89 65 22 81

 

Venir au jardin solidaire du Plan 

à Brétigny-sur-Orge 

Rue du Carouge

entre la promenade du Blutin et la rue du Plan.

 

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